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André ANTIBI, La Constante Macabre ou Comment a-t-on découragé des générations d'élèves?, éditions Math'Adore, 2003

 

Imaginons un professeur excellent, avec des élèves excellents. Si dans un tel contexte toutes les notes sont bonnes, l'enseignant est montré du doigt et considéré comme laxiste, voire peu sérieux. Ainsi, sous la pression de la société, les enseignants se sentent obligés de mettre une certaine proportion de mauvaises notes, une "constante macabre", pour être crédibles. 

C'est ce redoutable phénomène qu'André ANTIBI analyse finement et dénonce vigoureusement dans ce livre. 

André ANTIBI, Les notes: la fin du cauchemar ou En finir avec la Constante Macabre, éditions Math'Adore, 2007

 

Ce livre fait suite au précédent. Il présente un système d'évaluation par contrat de confiance (EPCC). Dans ce système, les notes correspondant mieux à la valeur de l'élève. Les résultats sont nets: les élèves, mis en confiance, travaillent plus et mieux. 

Daniel FAVRE, Cessons de démotiver les élèves,  éditions Dunod, 2010

 

Ce livre détaille comment permettre aux élèves de renouer avec le plaisir d'apprendre. Fondé sur des bases neuro-biologiques avérées, ce livre redonne à l'enseignant son vrai rôle : non plus acteur de démotivation, mais allié dans l'acquisition du savoir en libérant les élèves de la peur de se tromper. Un nouveau livre de Daniel Favre pour prendre véritablement en compte la dimension affective de l'apprentissage.

Joël HILLION, Le Maître des Désirs ou Mes élèves et moi édition du Club Zéro, 2001

 

Voici quelqu'un qui brise les idoles, qui ne croit à aucune des directives lancées depuis le ciel, qui ne croit pas aux études pratiquées chez nous, qui ne croit pas à l'esprit de synthèse, qui ne croit pas au sacro-saint baccalauréat. Quelqu'un qui refuse la discipline, les horaires, qui refuse de voir ses élèves marcher au pas. Qui refuse de ne parler qu'à des têtes ou des bustes, qui sait qu'on apprend avec son corps aussi bien qu'avec sa tête. Quelqu'un qui veut aimer, qui veut enseigner dans la joie, dont le but est le bonheur de ses élèves, qui offre un passeport pour la vie, qui cherche à sortir des enfants ce qu'ils ont de meilleur en eux. Qui veut faire éclore leur personnalité sans coercition ? Qui veut les faire rêver parce qu'à dix sept ans, messieurs les enseignants, il ne faut pas empêcher les enfants de rêver.

Pierre ROUDY

Joël HILLION, La Génération Virtuelle ou Comment se Débarasser de l'Enfant Roi et de ses courtisans édition du Club Zéro, 2001

 

Les enfants sont assistés, gavés, mais ils sont rarement aimés. Nous les avons abandonnés à eux-mêmes au nom de la sacro-sainte autonomie. Dans notre civilisation du désenchantement et de la dérision, les enfants sont censés représenter nos derniers idéaux. Mais les idoles adulées se rebiffent et leurs adorateurs en viennent à craindre leur liberté incontrôlée et leur agressivité. La conscience d'un échec et la crainte d'une impasse fatale commencent à transparaître derrière les discours lénifiants des spécialistes de la jeunesse.Dans mon livre, il est moins question de " responsabiliser les jeunes " que de redonner aux aînés le sens de leur responsabilité. Passionné par mon métier, découragé parfois devant la montée des périls, je ne désespère pas des adolescents qui m'accordent toujours leur confiance. A l'encontre de la mode qui veut tout " centrer sur l'apprenant ", j'entraîne mes élèves à se " centrer sur l'autre ", s'ouvrir à l'autre, découvrir et aimer l'autre, tous les autres. Quand l'Enfant Roi aura été détrôné, nous pourrons enfin oser ce qu'il attend de nous : l'aimer.

Joël HILLION

Joël HILLION, Et mon tout est un homme - Ebauche d'une pédagogie du lien,  édition du Club Zéro, 2001

 

L'éducation a toujours été placée au cœur de la civilisation - comme si d'elle dépendait la survie du groupe. Elle concerne " la transmission de notre humanité de génération en génération ", elle est liée au processus d'hominisation. Parce qu'elle est " globale ", elle implique toutes les institutions. Et la rivalité est grande entre, d'un côté, la famille et l'école, et de l'autre, les décideurs économiques, les tenants du pouvoir politique, les marchands médiatiques. Aujourd'hui plus que jamais, l'enjeu est collectif, universel.A l'échelle humaine, le " travail " de l'éducation reste prioritairement un acte qui engage des personnes uniques, dans une relation exclusive entre l'éducateur et l'éduqué. Apprendre, c'est se lier. Toute perte de lien humain nuit à la transmission. L'éducation n'est la propriété de personne, ni celle de l'éducateur, ni celle de l'apprenant, elle est ce qui se passe entre eux deux, elle est le relais, elle est un passage.Concentrer tous ses efforts sur les programmes, les méthodes, les technologies, nous distrait souvent de l'essentiel : que se passe-t-il vraiment entre celui qui éduque et celui qui est éduqué, que passe-t-il de l'un à l'autre ? C'est cette pédagogie du lien qui a retenu toute ma réflexion - après avoir absorbé toute mon énergie pendant près de 40 années d'enseignement... Ainsi ai-je éprouvé d'abord, et compris ensuite, que l'éducation est bien autre chose que la " transmission de savoirs ", c'est une affaire de conscience et une aventure du cœur.

Philippe MEIRIEU, L'école et les parents, La grande explication,  édition Plon, 2000

 

Entre les parents et les enseignants, s'installent aujourd'hui, bien souvent, l'incompréhension, la suspicion, quand ce n'est pas la méfiance ou l'hostilité. Pourtant, l'École et les élèves ne pourront progresser que si la communication et le travail en commun sont rétablis. Pour y contribuer, Philippe Meirieu et Daniel Hameline, entourés de spécialistes de l'éducation, professionnels et chercheurs, ont dressé un état des lieux. Ensemble, sans faux-fuyants, ils abordent les questions les plus vives.

Bernard DEFRANCE, Les parents, les Profs et L'école,  éditions La Découverte et Syros, Paris, 1998

 

Les parents souhaitent la réussite scolaire de leurs enfants, mais les enseignants souhaitent tout autant la réussite scolaire de leurs élèves... Alors, comment se fait-il que la communication soit si difficile entre eux ? Dépassant les querelles stériles, les incompréhensions et les blocages dus la plupart du temps aux angoisses partagées des uns et des autres, ce livre se veut une mise à plat des dispositions de chacun dans l'école et une invitation à (re)centrer l'intervention des parents (et des enseignants) sur la question principale, celle des finalités de l'école : qu'y apprend-on ? que devrait-on y apprendre ? pour quoi faire ? pour former quels citoyens ?

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